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Profanation sacrée

La Sanch

Un confrère de la Sanch en charge de la quète

https://www.byxai.me/wp-content/uploads/2018/04/La-Sanch.m4a

Ambiance sonore : Ambiance de la procession de la Sanch 

Témoignage

Enfant de catalogne, la Sanch a toujours été à l’office de mes interrogations latentes et c’est avec une plus grande curiosité que j’y assiste cette année pour en dégager un regard personnel, la foi des pénitents et la curiosité d’un public grandissant. Malgré quelques difficultés à circuler parmi la foule, j’explore quelques clichés à l’issue de quelques passage de pieuses émotions.

  

La procession de la Sanch

Historique

Manifestation unique en France, l’on attribue les origines de la procession du Vendredi Saint, appelée procession de la Sanch à Saint Vincent Ferrier, né à Valence en Espagne.

En 1416 (il y a précisément 600 ans, cette année), suite à son passage à Perpignan, est fondée en l’église Saint-Jacques, l’archiconfrérie de la Sanch (du sang, en français). Celle-ci accompagnait au lieu du supplice les prisonniers et condamnés à mort, par le chant poignant du miserere des pendus. Leur marche, accompagnée de bannières sur lesquelles étaient peints les instruments de la Passion, était ouverte par le regidor : un caparutxa (pénitent) vêtu de rouge, porteur d’une cloche de fer.
C’est ce même personnage, qui, aujourd’hui, rythme au son de la même cloche, le tragique et lent cortège de la Sanch. Lui succède les Misteris, parés des plus belles fleurs représentant les différentes scènes de la Passion et portés par pénitents noirs et femmes en mantille. Au son des tambours voilés de crêpe noir, cette majestueuse procession est l’une des plus émouvantes expressions de la piété populaire catalane où le profane et le sacré ne cessent de s’imbriquer.

Départ de l’église Saint-Jacques, retour au jardin de la Miranda.

Géolocalisation

46 clichés – Accès à cette galerie 

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GALERIE PHOTOGRAPHIQUE
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